Notre Histoire
1880La marque TONGIMED’S PAPER est déposéeC’est l’anagramme du nom de famille de Maurice Jacques DEMIGNOT, négociant puis papetier à Angoulême et propriétaire de la maison patronale au 2 Rue Saint-Gelais. Ce dernier fournissait les nouvelles galeries en articles de papeterie. Bon à savoir : Vous retrouverez les « armoiries » ou “marques et armes” de son entreprise sur le fronton de la porte d’entrée, côté rue Saint Gelais.
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1902Le début de la construction de la bâtisseL’industriel Maurice Jacques DEMIGNOT fait construire ses ateliers d’imprimerie par les architectes BARBAUD et BAUHAIN entre les rues St gelais et Rue de la Loire. Il leur confiera par la suite la conception de son hôtel particulier édifié sur une parcelle voisine devenu aujourd’hui l’hôtel des Arts. Bon à savoir : l’église notre Dame d’Obezine a été imaginée et réalisée par ces mêmes architectes.
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1906Un événement tragique : l’incendie de la firmeLe 22 Juillet, un incendie détruit la papeterie, laissant deux-cents ouvriers sans emploi. Les ateliers seront reconstruits et l’activité reprendra et perdurera avec Marc Demignot, le fils de Maurice Jacques DEMIGNOT. Après l’incendie, la production des cartes postales est arrêtée, conférant ainsi une valeur de collection à celles qui ont subsisté.
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1965La vente de l’hôtel particulierDate approximative de vente de la maison familiale (l’hôtel particulier) par la famille GUARRIGUE à des religieuses, les « Filles du bon Pasteur », qui s’étaient données pour mission d’accueillir de jeunes mères sans foyer ou abandonnées. Les héritiers divisent le jardin en 12 maisons individuelles, ils habitent une maison dans la continuité de la Rue St gelais, plus modeste et enfin quittent la ville. Une partie de la famille part s’installer à la Rochefoucauld suite à une proposition d’emploi, les autres dans le Cantal à Salers.
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1970La vente des autres bâtiments du domaineLa papeterie est vendue par les enfants de Marc Demignot, Jacques Demignot et Simone Flamant. Les ateliers sur la parcelle mitoyenne sont alors transformés en HLM, tels que nous les connaissons.
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1978La vente du bâtiment à la ville d’AngoulêmeL’office public municipal d’HLM de la ville d’Angoulême devient propriétaire de l’hôtel particulier à l’issu d’une vente auprès des Sœurs de Notre-Dame du Bon Pasteur.
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1997L’arrivée d’un studio d’animationLa maison au 4 Rue Saint-Gelais est réaménagée avec l’ancienne habitation patronale par un syndicat mixte chargé du développement de l’agglomération. C’est un studio d’animation, « ToonImage », de l’entreprise « NEURONNES » qui y installe ses bureaux, responsable entre autres, de la série d’animation “Franklin”.
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- 2004L’arrivée de bureaux du Département
La bâtisse passe de main en main, elle devient le bâtiment du département et est affectée à la direction des routes jusqu’en 2023. Passation évidente puisque cette dernière fait partie du syndicat mixte dont il est question en 1997.
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2024La vente aux enchères emplie de suspenseYannick LAMURAILLE acquiert aux enchères le bâtiment en participation avec le Crédit Agricole en vue d’en faire l’hôtel des Arts, suite logique à l’Hôtel Saint Gelais, situé dans le même quartier. Avec Tristan DOHY, architecte parisien, ils entreprennent la même année la restructuration du bâtiment dans son entier.
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